Arrêter de fumer avec les médecines douces

Arrêter de fumer avec les médecines douces

Pour arrêter de fumer, les médecines douces sont au rendez-vous pour vous aider. Après avoir tout essayé, il est temps de se tourner vers les médecines douces qui peuvent s’avérer efficaces afin d’arrêter de fumer.

L’acupuncture pour arrêter de fumer

L’acupuncture peut être une bonne alternative aux méthodes traditionnelles utilisées dans le sevrage du tabac.

  • Son fonctionnement : L’acupuncture est un procédé de médecine chinoise basée sur le rééquilibrage des énergies grâce à de fines aiguilles. Dans un sevrage tabagique, elle permet d’arrêter de fumer en activant et en rééquilibrant l’énergie vitale qui circule dans votre corps.
  • Points du corps concernés : Le praticien plante des aiguilles à certains endroits du corps bien précis : sur la main, les ailes du nez, au-dessus de l’oreille, ou sur le méridien de la vésicule biliaire. Les aiguilles sont gardées en place environ vingt minutes.
  • ça prendra combien de temps ? : Parfois, une à 2 séances suffisent. Une rechute est possible, même après plusieurs années. Des séances supplémentaires peuvent alors être prescrites. Sur certaines personnes, plusieurs séances seront nécessaires.

L’homéopathie pour arrêter de fumer

L’homéopathie présente des avantages certains par rapport aux autres méthodes de sevrage, elle n’est jamais toxique, n’expose à aucun effet secondaire et ne présente pas de contre-indications. Mais le véritable point fort du sevrage tabagique à l’aide de l’homéopathie est qu’elle propose aussi des solutions qui prennent en compte toutes les conséquences de l’arrêt du tabac, comme la prise de poids, la constipation, la nervosité due au manque, les troubles de la concentration et la déprime.

Les bases du sevrage homéopathique

Lors d’un sevrage tabagique effectué à l’aide de substituts nicotiniques, patchs ou gommes, ces derniers commencent par accroître les apports de nicotine dans l’organisme, puis, c’est la diminution progressive de la dose qui permet d’envisager la désaccoutumance. À l’inverse, l’homéopathie, va amorcer le processus d’élimination de la nicotine que notre corps contient. Dans un premier temps, on observe que le taux de nicotine reste stable dans le sang et les urines, permettant de ne pas sentir le manque et de résister à l’envie de fumer. Peu à peu, au fur et à mesure de l’élimination de la substance, le fumeur va s’habituer à s’en passer totalement.

La nicotine est un coupe-faim naturel, mais surtout, elle augmente le métabolisme de base du corps et fait brûler des calories (environ 15 kcal par mg inhalé), si on estime qu’une cigarette contient entre 6 et 17 mg de nicotine et qu’un fumeur en absorbe 1 à 2 mg, faites le calcul si vous fumez entre 10 et 30 cigarettes par jour ! L’homéopathie, peut vous aider à ne pas transformer ces calories manquantes en centimètres supplémentaires de tour de taille. De la même façon, les troubles occasionnés lors du sevrage tabagique comme l’irritabilité, l’agressivité, le manque de concentration ou la constipation, peuvent trouver dans la panoplie des granules, celles qui vont atténuer les effets indésirables.

Il existe aussi des méthodes psychologiques pour arrêter de fumer telles que Les thérapies cognitives et comportementales (TCC) sont une approche récente en psychologie, elles visent à modifier les automatismes pour renforcer la motivation et transformer les pensées négatives en cas de trouble dépressif. Les TCC aident les fumeurs à construire des stratégies de résistance pour les situations difficiles. Elles se déroulent en groupe ou individuellement, elles interviennent aux différentes étape de l’arrêt : préparation, prévention des rechutes.