Fifty Shades of Grey oblige, le SM est à la mode. Les rapports entre dominateur (ou dominatrice) et soumise (ou soumis) font l’objet de fantasmes de plus en plus de personnes. Quelles sont les limites de ces rapports ? Quelles sont les pratiques sexuelles SM les plus répandues ? Suivez le guide…
Le SM : un avant et un après Fifty Shades of Grey
Adapté au cinéma d’après le roman érotique du même nom, Fifty Shades of Grey déchaine les passions. Le film raconte la rencontre et la relation qui s’installe entre un dominateur et une soumise. Cette production a bénéficié d’une promotion telle que le SM est devenu le nouveau fantasme à la mode.
Le dominateur ténébreux et sexy qu’incarne Jamie Dornan fait fantasmer plus d’une et nombreuses sont les femmes qui se damneraient pour être la soumise de Mr Grey. Mais quelle part de réalité y a-t-il dans cette fiction ?
Le SM entre fiction et réalité
Dans le film, Christian Grey est un dominateur sexy, très riche et très attentionné. Ce n’est pas toujours le cas dans la vraie vie. Puis, une relation amoureuse s’installe progressivement entre le dominateur et sa soumise dans le film. Dans la réalité, les rapports SM sont le plus souvent exclusivement sexuels.
Quelles limites aux rapports dominateur/soumis ?
Chez les adeptes du SM douleur et plaisir de confondent. Le désir chez les soumises (ou soumis) augmente avec la sensation de douleur. A quel point peut aller cette douleur ? Chaque soumis a son propre rythme. Il existe donc une règle élémentaire dans les rapports SM : celle du safe word. Il s’agit d’un mot convenu entre le dominateur et le soumis et à la prononciation duquel les choses s’arrêtent net. C’est le signal qu’émet le soumis pour faire comprendre au dominateur qu’il doit s’arrêter. Les dominateurs et soumis évitent de choisir des mots comme stop ou non qui peuvent être prononcés sous l’effet du plaisir et non de la douleur.
