Homéopathie artisanale pour les bobos de la rentrée

Homéopathie artisanale pour les bobos de la rentrée

Qu’est-ce que l’homéopathie ? Quelle différence entre un médicament classique (ou allopathique) et un médicament homéopathique ? Quelles sont les bases scientifiques de cette méthode ? Voici un retour sur une médecine très efficace mais encore peu utilisée.

Qu’est-ce que l’homéopathie ?

Pour bien comprendre l’homéopathie il faut comprendre deux choses…

L’eau 

L’eau est le support matériel idéal utilisé par tous les règnes du vivant qui fabriquent journellement, au sein de leur organisme, de l’homéopathie de type Korsakov pour éliminer leurs poisons et toxines. N’en déplaise à certains scientifiques conservateurs, la mémoire de l’eau est devenue un fait incontestable scientifiquement démontrée par les travaux de Benveniste et de Masaru Emoto, et brillamment confirmé par les récents travaux du Professeur Luc Montagnier. 

La vibration 

L’homéopathie est basée sur le pouvoir de guérison de corps subtils qui modifient, par leur vibration, la vibration du terrain dans lequel la solution est injectée. Pour bien comprendre il faut avoir quelques connaissances en physique, notamment la physique de l’infiniment petit qui se démocratise de plus en plus, avec l’engouement des médias.

Le signal homéopathique est en réalité un signal radio complexe qui comprend comme tous les signaux vibratoires une fréquence et une amplitude. Parmi les moyens de mémorisation et d’amplification d’un signal vibratoire, il y a le frottement moléculaire (secousses), la rotation (moulins à prière des Tibétains), la génération de Vortex (Schauberger), sans parler des transferts optiques et électromagnétiques modernes.

La gamme de fréquences du signal homéopathique est définie par le nombre de dilutions, chaque nouvelle dilution faisant grimper la gamme fréquentielle d’un octave ou harmonique. Plus la dilution est élevée (donc la fréquence), plus le produit s’adresse à un corps subtil profond.

Sachez enfin que le signal homéopathique – contrairement à la chimie allopathique – est rayonnant. Il peut donc être absorbé par simple proximité de contact, par exemple, un flacon pendu par une cordelette de soie au cou.

Homéopathie artisanale

Bonne nouvelle : vous pouvez devenir autonome en fabriquant vous-même vos remèdes homéopathiques et ils seront probablement meilleurs que ceux vendus en pharmacie.

Choix de l’eau

Pour commencer il faut veiller à choisir une eau de qualité. L’eau osmosée qui est de l’eau déprogrammée et très pure est ce qu’il y a de mieux. Encore faut-il avoir un osmoseur. L’eau distillée est ce qu’on utilise classiquement, mais à l’échelle artisanale cela présente un coût prohibitif dans la mesure où la plus grosse partie va être jetée. La solution la moins coûteuse peut être une eau de source – la moins minéralisée possible, type Mont Roucous.

Choix des flacons

Il faut ensuite préparer ses flacons. Les bouteilles de 500 ml ou même 250 ml vendues en pharmacie sont parfaites. S’ils ont déjà servi, il faut rendre ces flacons vibratoirement vierges. Les laver ne sert pas à grand chose si ce n’est à réaliser une dilution supplémentaire. Pour effacer la vibration résiduelle, on peut :

  • Amener le flacon dans de l’eau à la température minimum de 70°,
  • Passer le flacon au four à micro-onde
  • Rincer le flacon avec un peu d’alcool à 90° pur

Choix des souches mères

Les souches-mères

Les souches peuvent être de nature extrêmement diverses (minérales, végétales, chimiques, organiques animales ou humaines, ou encore industrielles toxiques). Il est nécessaire qu’elles soient conditionnées sous une forme liquide hydro-alcoolique. Lorsqu’il s’agit de produits solides, il est donc utile de les faire tremper dans de l’eau pure (distillée ou osmosée), ou de l’alcool à 70° selon la nature du produit, même s’il ne présente pas de solubilité. Il y a alors enregistrement de l’information, c’est-à-dire la signature vibratoire de la souche. Le temps de trempage peut varier de quelques heures à 48 heures selon les cas. Vous obtenez là ce que l’on nomme la base ou solution mère.

Des auto-isothérapies à la carte

Vous pouvez fabriquer des auto-isothérapies à la carte et résoudre des tas de pathologies difficiles résistant à la médication classique pour un prix dérisoire, en prélevant simplement des exsudats qui peuvent être : crachats pulmonaires – salive – morve – larmes – urine – pus – desquamations cutanées – sueur – ménorrhées – placenta de l’accouchement (voir «Homéopathie courante par soi-même» – Ed. Guy Trédaniel)… mais pas de sang.

Rappelez-vous que trois principes principaux président à l’homéopathie. Dilution – Secousses – Conscience. Si vous faites vos propres préparations il est certain qu’il y aura plus de conscience que dans une préparation industrielle faite par la machine.

MODE OPÉRATOIRE

Amener le matériel nécessaire (flacons, eau pure) sur le lieu choisi. Un jardin de préférence.

  1. 1. Marquez au feutre sur votre bouteille, un trait au 1/3 environ de la hauteur.
  2. Introduisez une petite quantité de base juste suffisante pour mouiller tout l’intérieur du flacon. Secouez 4 ou 5 fois et jetez l’excédent sur le sol (dans l’herbe) sans égoutter.
  1. Remplir jusqu’au trait 1/3 le flacon avec de l’eau pure. Notez « dilution 1 ». Le boucher et secouer alors une centaine de fois. À noter que ceci est théorique. Les sensitifs peuvent sentir à un moment donné une énergie monter entre leurs mains. Les secousses doivent être verticales et sans violence, à un rythme juste que vous trouverez en le faisant varier plus vite, moins vite, jusqu’à ce que vous ressentiez un réel plaisir, dans votre corps : pensez pendant ce temps que vous effectuez un mariage entre les forces du ciel et de la terre dans votre flacon.
  2. Videz le flacon sur le sol et dites : « je te rends à la terre afin que tu renaisses plus grand » (formule alchimique). C’est un principe d’affinage universel utilisé quotidiennement par la nature.
  1. Remplir à nouveau au trait votre flacon Notez dilution 2 et recommencez l’opération comme dans le paragraphe 3.
  2. Videz le flacon et procédez comme dans le paragraphe 4.
  3. Remplir au trait et notez dilution 3, continuez ainsi de suite jusqu’à dilution 8.

A la dilution 9 remplissez le flacon entre les 2/3 ou 3/4.

Secouez et NE JETEZ PLUS. Vous avez le produit définitif.

  1. Vous pouvez ou non sacraliser votre produit par la méthode que vous voulez. Certains petits détails sont importants. Voyez les résultats scientifiques d’EMOTO sur l’eau avec des musiques, des mots, des pensées, des prières, ou de simples étiquettes.
  2. Fixez le produit homéopathique avec 10 % d’un alcool fin (ex : cognac) afin d’éviter l’invasion d’algues ou micro-organismes divers. Si le produit ne doit pas être gardé longtemps, il est possible de le laisser tel quel, en particulier pour des bébés ou des personnes allergiques à l’alcool.
  3. 10. Enfin, il est prudent et sage d’envelopper le flacon intégralement dans du papier aluminium de cuisine et avec du papier blanc par-dessus pour le protéger de toutes les pollutions vibratoires ambiantes (télé, radio, antennes GSM, radars…). Ne pas stocker les flacons obtenus, à proximité de produits chimiques peu nobles (ménagers ou pharmaceutiques).

Qu’est-ce que le procédé Korsakov?

En homéopathie, le procédé Korsakov permet de garder la mémoire de toutes les dilutions précédentes puisque l’on ne change pas de flacon. Ce n’est pas le cas dans le procédé Hahnemann où on change systématiquement de flacon.

Le saviez-vous ?

Les terribles conditions dans lesquelles se trouvaient les soldats dans les tranchées faisaient qu’un certain nombre d’entre eux se retrouvaient avec des diarrhées épuisantes, voire des dysenteries mortelles. N’ayant aucun médicament sur place, on leur avait appris à se confectionner une auto-isothérapie homéopathique. C’est le MERDORRHINUM.

Ils prenaient un récipient quelconque qui ferme bien, et y introduisaient de l’eau propre à laquelle ils ajoutaient l’équivalent d’une demi-cuillère à café de leurs selles. Ils secouaient le flacon une centaine de fois, vidaient le tout, remettaient de l’eau, re-secouaient et cela 7 fois de suite. Ils gardaient la dernière eau et en absorbaient 1 cuillère régulièrement.