Que ce soit chez l’homme ou chez la femme, les troubles liés à la sphère urinaire peuvent être véritablement invalidants. Douleurs au bas ventre, difficulté de miction, mictions fréquentes et sommeil perturbé entrainent de plus une certaine nervosité. On essaie de comprendre le pourquoi du comment et de vous donner des solutions naturelles.
La vessie, une pièce maîtresse de notre métabolisme
La vessie effectue un travail vital pour l’Homme, elle rassemble l’urine venue des reins pour l’évacuer. Le premier trouble qui lui est lié est celui des mictions. Quand la vessie n’est pas complètement vidée, le résidu vésical entraine un risque infectieux. Mictions faibles et répétées ou incontinence urinaire révèlent un dysfonctionnement au niveau des muscles de la vessie ou des parois intérieures, ou encore un problème lié aux reins.
La sensation de brûlure qui accompagne les mictions révèle aussi un dysfonctionnement quelconque.
Les douleurs du bas ventre peuvent être liées à la fonction urinaire et peuvent ne pas l’être. Cela peut révéler un problème au niveau des ovaires aussi. A vous de consulter et de faire les radios qu’on vous demande pour élucider la source du mal. Ensuite viendra le temps du traitement, naturel de préférence. Une liste indicative des troubles urinaires existe sur le site www.soins-infirmiers.com, avec des indications sommaires des soins à apporter dans l’immédiat.
Le stress joue un rôle considérable dans les troubles urinaires. Le système nerveux autonome est désorienté à cause du stress. Cette perte d’équilibre se manifeste de différentes manières, y compris par des douleurs au niveau des muscles de la vessie, ou des difficultés de miction. En cas de stress passager un massage du bas ventre avec les bonnes huiles essentielles pendant quelques jours suffit à vaincre la douleur. Mais il faut absolument remédier au problème à sa source, en finir avec le stress !
Que cache la douleur ?
Les troubles urinaires peuvent être dus à plusieurs pathologies, les unes sont aigues (des infections sévères) les autres sont chroniques mais aussi invalidantes par moments. La cystite est l’infection urinaire la plus fréquente chez les femmes. C’est l’envie pressante d’uriner avec la sensation de brûlure au niveau des voies urinaires qui vous révèlera en général une cystite. Celle-ci se soignera naturellement en buvant une grande quantité d’eau ce qui ne laissera pas les germes stagner au niveau de la vessie. La canneberge est recommandée aussi, elle inhibe aussi l’adhésion des bactéries sur les parois de l’urètre et de la vessie. Les Huiles essentielles sont très efficaces aussi. Une cystite peut devenir chronique, on parle de cystite interstitielle, elle nécessite un changement de rythme de vie et d’hygiène. Les huiles essentielles restent votre allié idéal.
L’infection urinaire plus sévère se manifeste généralement par un état de faiblesse/fébrilité et de la fièvre élevée. Il faut consulter et faire les analyses nécessaires pour connaître le germe responsable de l’infection et le traiter.
Les huiles essentielles, votre allié de toujours !
Les huiles essentielles sont les essences des plantes, des concentrés de vertus santé. Certaines sont dotées d’un grand pouvoir anti-infectieux et anti-inflammatoire. Aussi efficace au moins que celui du médicament chimique mais complètement inoffensif, aucun effet secondaire. La raison c’est que l’huile essentielle de part sa composition naturelle se marie (plus ou moins) bien à la dynamique chimique du corps, très complexe. Le médicament chimique fabriqué en laboratoire va lui soigner un aspect du mal mais perturber une quantité de processus chimiques dans le corps. C’est ce qu’on appelle les effets secondaires. Ceux visibles (nausées, céphalées, sécheresse buccale, sécheresse vaginale, etc) sont les signes d’un déséquilibre majeur survenu dans le corps. Mais la plupart de ces effets passent inaperçus, ce qui n’enlève rien à leur nocivité. Le corps est déséquilibré donc fragilisé pour longtemps.
L’action des huiles essentielles est beaucoup plus douce, elle est à large spectre. Selon les préceptes des médecines traditionnelles qui datent de plusieurs millénaires, les huiles essentielles traduisent des principes énergétiques qui viennent corriger le flux de l’énergie vitale. Elles ont donc plusieurs effets, l’action de l’énergie se traduit par plusieurs effets physiques.
A long terme elles provoquent des modifications de terrain qui peu à peu devient plus sain, limitant ainsi la tendance aux récidives.
Quelles Huiles Essentielles utiliser en cas de troubles des voies urinaires ?
Pour utiliser les huiles essentielles en cas de troubles des voies urinaires à bon escient, il vaut mieux connaître le germe en cause. Voici des HE toujours utiles en cas de troubles urinaires :
- HE de Sarriette
- HE de Ravintsare
- HE de Cannelle de Ceylan
- HE d’Eucalyptus citronné
- HE de Clou de girofle
- HE de Menthe poivrée
- HE de Thym à Thymol
L’huile essentielle de sarriette des jardins L’huile essentielle de sarriette des jardins (Satureja hortensis) est bien indiquée pour les pathologies infectieuses, dont celles de la sphère urinaire. Il est donc utile de l’avoir dans son placard. L’HE de sarriette des montagnes (Satureja montana) est précisément indiquée pour les cystites à candida ou gonocoques.
Comment utiliser les huiles essentielles ?
Les HE peuvent être utilisées de différentes manières. En soin externe, traversant la barrière cutanée, elles sont à utiliser dans la proportion d’environ 10%, diluées dans une huile végétale neutre. L’huile de calophylle est intéressante pour une base de massage aussi. Cette huile de massage est à appliquer au bas du ventre et aux reins plusieurs fois par jour.En soin interne les huiles essentielles sont à prendre mélangées à une cuillère de miel par exemple. 10 à 15 jours de traitement ou de massage sont nécessaires.
