Les bienfaits du chocolat

Les bienfaits du chocolat

Un excellent stimulant cérébral

En plus de ses antioxydants et de leur action au cœur de notre organisme, le chocolat apporte quelque chose que l’on perçoit immédiatement, à savoir le plaisir. Rien ne nous apporte autant de bonheur que de croquer dans une tablette de chocolat ou d’en déguster un bon bol bien chaud. A l’instar de tout aliment présentant une saveur sucrée, sa consommation entraîne la libération en masse d’endorphines, associées aux sensations de plaisir et de bien-être. Sans même attendre qu’il soit avalé et digéré, le chocolat agit dès sa présence dans sa bouche, où il fond instantanément et nous remplit d’extase. L’amphétamine, la phényléthylamine, le tryptophane et l’anandamide qu’il contient participent également à améliorer notre humeur.
Sa teneur en magnésium, spécialement dans le cas du chocolat noir (112 mg de magnésium pour 100 g), en fait un excellent partenaire face au stress et à l’anxiété. On sait aussi qu’un apport insuffisant en magnésium a pour conséquence une baisse sensible en énergie, ce qui revient à dire que le cacao entretient la vitalité.
En outre, on attribue au chocolat des propriétés nootropiques, ce qui signifie qu’il stimule l’activité cérébrale. La théobromine, agent assez proche de la caféine, n’est pas étrangère à toutes ces vertus.

Contre l’hypertension et le mauvais cholestérol

Autre atout santé du chocolat, ses vitamines B3 qui contribuent à maintenir le bon fonctionnement des artères en empêchant les dépôts de s’y former.
Le système circulatoire et l’activité cardiaque font partie des grands bénéficiaires. Des études ont notamment démontré un lien entre la consommation quotidienne de chocolat noir (sans excès, les spécialistes préconisant de manger deux carrés par jour) et la réduction des risques de souffrir maladies et de crises telles que l’hypertension artérielle, l’infarctus du myocarde, l’accident vasculaire cérébral, mais aussi le diabète de type 2.
Parallèlement, ses acides gras (les acides stéarique et oléique) n’induisent pas d’augmentation du taux de mauvais cholestérol dans le sang.