Eau KAQUN

Eau KAQUN

Nous sommes faits d’eau, entre 60 et 70% pour un adulte, plus pour un nouveau né. Mais si l’on regarde la structure même des molécules qui nous composent, on s’aperçoit que l’on est fait de molécules d’eau à hauteur de 90% au moins. L’eau est simplement un pilier majeur de la santé e du bien-être. Connaissez-vous l’eau KAQUN?

L’eau KAQUN est disponible :

– Sous forme d’eau de boisson à consommer comme une eau classique.

– Sous forme de gel à appliquer sur la peau.

– Sous forme de bains, en balnéothérapie en Hongrie et progressivement dans le monde entier.

Qu’est ce que l’eau KAQUN?

Depuis 2002, KAQUN s’est imposée comme une technique majeure en soins naturels. Depuis 2002, des milliers de personnes venues de 42 pays viennent à BUDAPEST pour suivre des cures de bains KAQUN dans un but de puissante régénération physique et mentale.

Dès son jaillissement de la source, l’eau est purifiée et filtrée, puis enrichie en oxygène au moyen d’une technologie spéciale protégée. Le procédé d’électrolyte utilisé a la capacité de produire et de stabiliser une teneur élevée en oxygène bio-disponible à l’intérieur de l’eau. Le résultat direct de cette technologie KAQUN est la présence d’oxygène sous forme stable avec une concentration de 18-25mg/l, ce qui est surmultiplié par rapport au contenu d’oxygène d’une eau normale. L’eau KAQUN est légèrement alcaline avec un pH moyen de 7,1-7,5. Le taux d’oxygène reste stable plus d’un an dans des conditions standards de conservation.

Oxygène et cellules

Sans oxygène, la vie humaine ne serait tout simplement pas possible. L’oxygène est redistribué aux milliards de cellules de notre corps pour les alimenter et libérer de l’énergie. L’oxygène produit l’ATP (adénosine triphosphate) sans laquelle notre corps ne pourrait plus fonctionner. L’oxygène est également un des composants essentiels du corps humain et l’eau dont est composé notre corps contient, elle aussi 33% d’oxygène.
La cellule pourrait se définir comme étant le plus petit élément capable de s’organiser pour vivre. Autrement dit, la cellule est l’unité structurale et fonctionnelle des êtres vivants. L’ensemble des tissus de l’organisme est constitué par un assemblage de cellules.
Ainsi, le bon fonctionnement de nos tissus, organes, cerveau, muscles, foie, rein, glandes… est lié au bon fonctionnement, et notamment à l’oxygénation, des cellules qui les composent.

Bon à savoir: Les besoins d’une cellule

Nos cellules ont essentiellement besoin de 3 choses pour survivre et se développer :

ü d’oxygène, source de toute énergie dans le corps

ü de nutriments

ü d’éliminer leurs déchets

Quand un de ces 3 éléments est manquant, nos cellules fonctionnent mal entraînant un mauvais fonctionnement de nos organes.

L’oxygène, source d’énergie de vie

La Vie est Energie. Notre énergie est produite dans les mitochondries qui sont des éléments à l’intérieur de nos cellules. Elles sont considérées comme la centrale énergétique de la cellule. C’est dans ces mitochondries que se déroulent les dernières étapes du cycle de l’oxygène. Ces étapes convertissent les éléments issus de la digestion en énergie directement utilisable par la cellule. On appelle cette énergie l’ATP. Chaque jour, chaque cellule utilise autour de mille milliards de molécules d’oxygène pour brûler les substances de l’alimentation et fabriquer l’énergie dont nos cellules et notre métabolisme ont besoin. L’oxygène est un catalyseur d’énergie : il facilite l’utilisation des sucres et des graisses par les muscles. Notre corps a besoin d’avoir une certaine teneur en oxygène pour transformer les hydrates de carbones, les protéines, et les matières grasses en chaleur et énergie nécessaires à notre survie. Plus nous avons d’oxygène, plus nous produisons d’énergie.

Nos besoins en oxygène

Le besoin d’oxygène cellulaire varie dans des proportions importantes selon la nature des cellules et l’intensité de leurs activités. En particulier, les cellules nerveuses consomment beaucoup d’oxygène, environ 20 fois plus que le muscle au repos. L’effort musculaire s’accompagne d’une élévation de la consommation d’oxygène, qui peut atteindre elle aussi 20 fois sa valeur au repos.