Les remèdes homéopathiques peuvent servir à traiter diverses manifestations de pathologies contractées par les chats et chiens de compagnie. Leur usage requiert toutefois de la prudence, le respect des dosages et le conseil de spécialistes, vétérinaires et homéopathes confirmés.
Tout comme nous, humains, nos animaux de compagnie peuvent voir un certain nombre de leurs maux réduits ou soulagés par l’homéopathie. Cette dernière agit alors en complément aux antibiotiques et aux médicaments allopathiques, et interviennent principalement sur les symptômes des pathologies, l’affaiblissement de l’animal et ses troubles de comportement. Nos chiens et chats sont ainsi soignés de manière douce et naturelle, qu’il s’agisse de problèmes de peau, du système nerveux, d’affections respiratoires ou encore de petites déprimes.
Que peut-on soigner chez l’animal avec l’homéopathie ?
La plupart des maux dont peut souffrir le chien ou le chat peuvent faire partie du large champ d’application des médicaments homéopathiques.
A commencer par les pathologies du système nerveux qui sont, le plus souvent, à l’origine des troubles du comportement de l’animal de compagnie. Crises d’angoisse, traumatismes, peurs excessives, déprimes et excitabilité sont calmés sans effets secondaires.
Les troubles urinaires tels que les calculs et les cystites, essentiellement chez le chat, y trouvent eux aussi une réponse naturelle et efficace, au même titre que les problèmes d’ordre sexuel (hyperactivité sexuelle par exemple), pour lesquels l’on recommande une prise en charge homéopathique doublée d’une rééducation comportementale. Volet reproduction toujours, la mise bas, le travail, la lactation et la croissance des chiots et chatons en bénéficient également.
Il en est de même pour les pathologies de la peau, pouvant aller des atteintes parasitaires aux surinfections bactériennes, en passant par les coupures et autres petites lésions pouvant survenir au quotidien.
L’homéopathie permet enfin d’agir sur les maladies que l’on retrouve chez les animaux âgés, en améliorant la fonction locomotrice ou en soutenant le traitement allopathique d’une cardiopathie par exemple.
