Une relation amoureuse implique des sentiments, des rires, une complicité, du sexe, mais également des disputes. Eh oui, les chamailleries et autres prises de bec sont inévitables dans un couple. Le tout est que ces disputes ne deviennent pas répétitives pour que la relation ne soit pas destructrice.
Disputes, rien de plus normal
Se disputer est tout à fait normal. Des problèmes d’argent, des poubelles que monsieur a omis de sortir, la robe beaucoup trop courte de madame, les motifs varient. Mais qu’est-ce qu’une dispute « normale » ? C’est celle qui ne dégénère pas, qui reste dans un cadre de discutions, un peu animée.
En revanche, si les choses ont tendance à s’envenimer un peu trop souvent, que la vie de couple se transforme en perpétuelles disputes ou que le sentiment de négativité devient pesant, il serait temps de régler le problème en profondeur. Une therapie de couple s’impose.
Thérapie : la solution à vos disputes ?
Therapie, voilà un mot qui fait peur à plusieurs couples. Pourtant, il n’y a rien de dangereux dans une therapie, bien au contraire. Avec un professionnel, neutre, le couple discutera à cœur ouvert de ses problèmes dans le calme. Chacun pourra dire ce qu’il a sur le cœur et fera de son mieux pour que le couple retrouve l’entente d’antan.
Régler ses problèmes de couple
Outre la thérapie, il existe d’autres moyens d’essayer de régler les disputes récurrentes. Partir en weekend en amoureux par exemple est un excellent moyen de détendre l’atmosphère. Le fait de changer de cadre, de sortir de la routine, permettra aux deux partenaires d’envisager leurs problèmes différemment. C’est l’occasion rêvée de se dire les choses dans une ambiance agréable sans que cela ne se transforme en dispute.
D’ailleurs, il est nécessaire de réserver du temps au couple, de continuer à se séduire, à se faire de petites surprises pour que la relation puisse continuer à fonctionner. La routine est un tue l’amour qu’il faut éviter à tout prix. Usure du désir (lien), disputes… le quotidien monotone peut en être à l’origine.
