Tout comme les ébats à deux, les plaisirs solitaires ont leur charme. En communion avec vous-mêmes, vous brulez de désir et vous vous donnez du plaisir. La masturbation n’a pas à être honteuse. Faisons la chasse aux idées reçues !
Masturbation : rien de plus naturel !
Longtemps considérée comme un tabou, la masturbation n’a désormais plus ce côté caché, secret. La science a contribué à ce changement des mœurs, puisqu’elle a prouvé que se donner du plaisir soit même était naturel. Sachez par exemple, qu’un enfant commence à toucher ses parties intimes dès le bas âge, généralement vers les 4 ans. C’est bien un signe que c’est naturel. Ne gâchez donc pas votre plaisir !
Quelle fréquence ?
Tout comme pour tout autre acte sexuel, la fréquence de la masturbation varie d’un individu à un autre, d’une période à une autre. Ceci dit, la masturbation connait son apogée à l’adolescence. A cet âge-là nous somme à la découverte de la vie et de nous-mêmes. Le plaisir ressenti incite à recommencer assez fréquemment.
Autre variable, le sexe. A l’adolescence comme à la vie adulte, les sondages montrent que la fréquence de la masturbation chez les hommes est supérieure à celle chez les femmes.
De toutes les manières, si vous vous posez des questions sur « la normalité » de la fréquence à laquelle vous vous masturbez, le mieux est de consulter un sexologue. De quoi trouver réponse à toutes vos questions et corriger certaines idées reçues.
