Psychologue ou psychiatre ? Une grande différence…

Psychologue ou psychiatre ? Une grande différence…

« Psychologue ou psychiatre ? » C’est la question que posent plusieurs personnes dès qu’on les conseille de faire une suivie de leur état psychologique et mental. Nous allons révéler les différences, les avantages et les inconvénients de chacun, et c’est finalement à vous de choisir entre le psychologue et le psychiatre.

La différence entre un psychologue et un psychiatre :

Le psychiatre est un médecin spécialisé en psychiatrie, comme le dentiste est un médecin spécialisé en médecine dentaire. Son domaine professionnel est la santé mentale et neuropsychologique. Pour ce fait, il existe différentes catégories de psychiatres : le pédopsychiatre, pour enfants, le neuropsychiatre pour ceux qui souffrent d’une maladie plutôt neurologique.
Le psychologue ou le psychothérapeute est spécialisé en psychologie, plutôt en sciences humaines qu’en médecine. Il offre des services de soins psychologiques pour faire face à certaines situations et certains symptômes. Le psychologue focalise surtout sur la compréhension du comportement humain et sur l’étude de la psyché.
Le psychiatre, après études du cas, procède par une thérapie médicamenteuse, c’est-à-dire prescrire des médicaments. Il est donc remboursable à travers la mutuelle santé. Par contre, le psychologue ne prescrit pas de médicaments et ne croit pas au traitement chimique, il n’agit que sur tout ce qui est comportement et pro activité. Il n’est remboursable par la mutuelle qu’à travers une assurance  supplémentaire.

Etre imbibé de produits chimiques…

Comme est précédemment dit, le psychiatre prescrit des médicaments, dans la majorité des cas des antidépresseurs inhibiteurs de la sérotonine. En moyenne, 10% des antidépresseurs, à long terme, cause des hémorragies gastriques, surtout pour les personnes âgées.
Les antidépresseurs prescrits par les psychiatres sont la cause principale de divers problèmes sexuels sommes les soucis érectiles et éjaculatoires en plus de la chute libidinale aussi bien les hommes que chez les femmes.
Si vous posez la question à une personne qui vient de consulter un psychiatre : « Que sens-tu de mauvais en prenant tes antidépresseurs ? », la réponse immédiate serait : « le sommeil m’empêche le plus souvent d’accomplir mes activités quotidiennes. Si j’ouvre les yeux, j’agirai avec étourdissement et je serai incapable de prendre des décisions. »