Le problème de la « mal bouffe » est devenu le pain quotidien des familles. Il est d’autant plus grave qu’il touche les enfants. Le discours dominant est le suivant «C’est difficile, on ne peut pas forcer l’enfant à manger certaines chose plutôt que d’autres, l’environnement pèse beaucoup, la pub, les copains, etc.». Faut-il forcer un enfant à manger quelque chose ? Est-ce bénéfique pour son organisme déjà ? Mais alors comment faire l’éducation alimentaire de son enfant ?
Est-ce seulement possible ?
Est-ce seulement possible d’éduquer ses enfants autrement, dans ce véritable raz de marée de produits alimentaires si néfastes pour la santé ? Malgré les nombreuses études qui confirment la toxicité de l’aspartame par exemple, du bisphénol ou des phtalates, nous continuons d’être pris en otage par la pub envahissante de tous ces produits alimentaires industriels, et qui contiennent trop souvent toutes ces toxines, sinon d’autres, que le consommateur moyen ne connaît même pas. Une nourriture complètement dénaturée, mais liftée avec du marketing plein les yeux. De véritables pâtes industrielles colorées et relevées avec des colorants et des exhausteurs de goût, et si mauvaises pour la santé.
La situation relève du tragicomique. Quand on voit comment tous les efforts, des médias comme des sphères spécialisées comme les médecins, mettent l’accent sur le dépistage des différentes maladies de l’époque (le cancer en tête), pour mettre au point de nouveaux traitements, en oubliant complètement que la source du mal est le mode de vie que l’on mène…On se pose des questions !
La nourriture : la première médecine
Faut-il rappeler que la nourriture qui entre dans le corps est le premier déterminant de la santé. Le corps vit avec ce que nous lui donnons, de la qualité de cette nourriture dépend largement la qualité de fonctionnement de ce corps. Les médecines ancestrales sur unanimes sur ce postulat. Il n’y a que la médecine moderne qui met l’accent sur le traitement plutôt que sur la prévention. Traitement à coups de molécules chimiques dont les effets secondaires, connus, sont conséquents.
