Comprendre la signature des plantes

Comprendre la signature des plantes

On dit souvent que la nature a réponse à tout. Gaïa a tout prévu pour le bien-être de l’Homme…On vous invite à explorer cette idée en profondeur en découvrant la signature des plantes. Comment chaque plante porte une information sur le mal qu’elle peut soigner ou l’organe du corps humain pour lequel elle apporterait des bienfaits. Apprenez simplement à observer la nature autour de vous !

Une science ancestrale

Les peuples premiers avaient l’habitude d’observer attentivement les plantes dans leur environnement. Ce regard s’accompagnait d’une observation attentive de la gestuelle de la plante. Une manière bien particulière d’approcher la plante car bien différente de l’approche dominante depuis quelques siècles et basée sur la dissection. Autrement dit, pour analyser une plante, on la découpe en morceaux (fleur, tige, feuilles), on effectue des mesures et des analyses chimiques pour obtenir (ce qu’on croit être) une analyse complète de cette plante, ramenée à des principes actifs. Les anciens, eux privilégiaient une autre approche, plus holistique : Il s’agit de communication/communion avec les plantes, largement pratiquée par tous les peuples premiers et les chamanes de toute la planète. Cette méthode a conduit au symbolisme des fleurs, et à une théorie de la connaissance des propriétés des plantes appelée théorie des signatures en ethnomédecine, à l’origine de la plupart des médecines savantes de type chinoise, ayurvédique, gréco-arabe, persane mais aussi hippocratique. Elle a aussi conduit les Anciens à reconnaître l’action des plantes sur les chakras en médecine ayurvédique et sur les méridiens en médecine traditionnelle chinoise.

Les plantes sont-elles intelligentes ?

L’approche humaine dite moderne consiste à traiter la plante comme un objet, un objet vivant n’ayant ni intelligence ni intention. Tout au plus une forme de vie munie d’une intelligence rudimentaire, un « manuel» qui lui permet de fonctionner : Faire de la photosynthèse, puiser l’eau et les minéraux dans le sol ensuite fabriquer des fleurs et des fruits, s’éteindre ensuite pour laisser vivre les graines des fruits donnant de nouveaux des plantes. Cette vision matérialiste et simpliste est aussi coupée des avancées de la physique quantique, ou science de l’intention.

Observons juste un exemple : Les haricots de Lima infestés d’acariens sécrètent un mélange d’huiles volatiles (terpénoïdes) qui attirent d’autres insectes prédateurs mangeurs d’acariens. Chaque espèce de plante produit un différent mélange de volatils selon le type d’acarien en train de la manger. Conclusion : Les plantes peuvent percevoir exactement quel genre de pucerons s’installe sur elles en analysant leurs sécrétions salivaires et décider de leur comportement.

Ainsi, plusieurs observateurs avancent que non seulement les plantes sont intelligentes, mais que c’est une forme d’intelligence qui peut être supérieure à la nôtre, même si cela n’en n’a pas l’air. Les plantes ont quelques millions d’années de plus que nous sur cette terre, elles ont créées des structures impressionnantes qui montrent leur avancée dans le domaine de l’intelligence. Elles sont sur terre bien avant l’être humain. La complexité et la beauté de la plante dépassent la vision matérialiste et séparatiste des principes actifs, c’est une œuvre musicale produite par l’orchestre symphonique de l’univers. Et si nous savons aujourd’hui copier la chimie des principes actifs, nous ne savons pas en faire de même pour les signatures fréquentielles des plantes….

Les plantes ont une signature fréquentielles aussi…

Oui. En plus de la signature physique visible à l’œil humain, la plante possède une signature fréquentielle, qui elle n’est pas visible à l’œil humain. La recherche sur les signatures fréquentielles des plantes a permis de constater que les plantes indiquées par les médecines ancestrales pour des organes (ou des fonctions) donnés, possèdent les signatures fréquentielles de ces organes ou des fonctions, mais aussi parfois la signature fréquentielle en opposition de phase avec la maladie. Aussi, plus étonnant peut être, on sait aujourd’hui que toutes les plantes définies par Dioscoride  -et qui ne possèdent pas de principe actif justifiant de leur utilisation pour un organe précis- possèdent la même signature fréquentielle que l’organe ou que la fonction définies par Dioscoride. Elles possèdent sinon son opposition de phase (c’est-à-dire la même séquence de notes, mais inversée).
Un exemple: Hildegarde de Bingen propose un aliment qui nourri le cerveau et corrige les pathologies de dégénérescence de cet organe : la châtaigne. Les signatures fréquentielles de la maladie d’Alzheimer correspondent exactement aux séquences fréquentielles de la châtaigne (source : Marion Kaplan sur www.energie-sante.net)

La médecine moderne gagne à élargir son champ d’action pour l’utilisation des plantes en intégrant toutes ces connaissances, rejoignant d’ailleurs la pharmacopée chinoise dont on ne discute plus l’efficacité.

Une note d’histoire

La théorie des signatures des plantes est très ancienne. Paracelse ou Goethe dans La métamorphose des plantes, Gian Battista Della Porta dans Physiognomonica, Dioscoride qui a rédigé dans les années 60 après J.C. « De matéria médica ». Dans l’époque médiévale aussi l’observation active et intuitive des plantes était très répandue, aujourd’hui avec des noms savants : ethnobotanique. Le principe est le même, la parfaite harmonie entre l’Homme et son milieu naturel.

La signature du divin ?

Certains voient dans les signatures des choses le plan du divin, d’autres appellent cela simplement la nature. La différence est probablement que les premiers y voient de l’intention et que les seconds y voient de l’intelligence pure un peu hasardeuse. L’univers est en tout cas un vaste système de correspondances, dont le schéma de vortex est curieusement repris dans la forme des oreilles de chacun d’entre nous. Alors devons-nous simplement apprendre à mieux écouter ? … Pour mieux entrer en résonnance avec tout ce qui vit et donc tout ce qui vibre ?

Stage de formation en signature des plantes

L’école Plantasanté (Naturopathie et médecines naturelles, gestion du stress) est une école fondée par Christian et Elisabeth Busser, Docteurs en pharmacie et passionnés de plantes médicinales et de médecines alternatives. Ils ont créé une pharmacie herboristerie en 1991 à Obernai, ensuite ils se sont consacrés à la transmission de leurs expériences multiples, ils organisent des stages ethnobotaniques sur le terrain : découverte des signatures décrites par la tradition et propriétés.