Astuces détox en attendant le printemps

Astuces détox en attendant le printemps

Les rudesses de l’hiver, auxquelles s’ajoutent la pollution, la malnutrition finissent par fatiguer notre organisme, qui ne parvient plus à se débarrasser, seul, de toutes les toxines qui s’accumulent sournoisement. En attendant le printemps, il serait judicieux de s’accorder une petite cure de détoxification.

Que l’on cherche ou pas à perdre du poids, une cure de détoxification est toujours la bienvenue. En effet, tout ce qui nous entoure regorge de sources potentielles de toxines. Entre l’air que l’on respire, pollué par les métaux lourds, la nourriture que l’on trouve dans les rayons des grandes surfaces et qui est loin d’être avare en substances nocives (colorants, conservateurs de synthèse), et les objets avec lesquels nous entrons en contact tous les jours, ce sont autant d’occasions pour une multitude d’éléments invisibles d’être absorbés par notre organisme, dont les mécanismes fragiles et complexes se grippent progressivement sous leur action. Nous devons donc, de temps en temps, accorder une petite pause à notre corps, fatigué qu’il est de devoir traiter ce surplus d’agents étrangers en permanence. Une cure de détoxification est la meilleure façon de lui offrir ce moment de répit.

La chasse aux toxines

En mangeant, en buvant, en fumant ou tout simplement en respirant, nous faisons inconsciemment entrer dans notre corps des intrus invisibles, mais dont l’action aussi progressive que sournoise finit par avoir des conséquences bien palpables au bout d’un certain temps.

Jamais notre environnement n’a été peuplé d’autant d’éléments dangereux pour notre organisme, circulant librement et en de très fortes concentrations tout autour de nous. Ces composés néfastes, ce sont, par exemple, les métaux lourds tels que le mercure ou le plomb, les additifs alimentaires que l’on retrouve dans les aliments industriels, les solvants, les détergents, les substances de synthèse (hormones, stéroïdes…), les pesticides ou encore les insecticides.