Mémoire cellulaire : La nouvelle clé de bien-être

Mémoire cellulaire : La nouvelle clé de bien-être

Nos cellules se souviennent de notre histoire, de nos joies comme de nos peines. Tout est marqué, tracé, sur notre ADN même. L’hypothèse veut que les cellules portent la mémoire des parents aussi, ou dans une proportion moins prononcée celle de nos ancêtres….Etes-vous conscient de la mémoire que portent vos cellules ?

Jusqu’où va la mémoire ?

La mémoire est un des plus grands mystères du cerveau. On ne sait pas très bien quelles zones sont responsables de la mémoire, il semble que le fonctionnement des réseaux de neurones se fasse de façon bien plus complexe que le classique cloisonnement qui veut que chaque zone soit spécialisée dans des activités cognitives données.
L’hypothèse de la mémoire cellulaire veut donc que la mémoire ne soit pas uniquement l’apanage du cerveau, elle est partout dans le corps. Chaque cellule porte la mémoire du tout. Tout le corps mais aussi le tout au sens large. Ce qu’on appelle inconscient collectif, serait codé dans nos propres cellules. Ce n’est donc pas que de la psychologie. La psychologie correspond à une réalité biologique. Hypothèse en effet révolutionnaire et qui a révolutionné les techniques de prise en charge et de psychothérapie. On parle de nettoyage de la mémoire. L’EFT ou l’EMDR sont des techniques phares basées sur ce concept, mais pas les seules. La médecine alternative basée sur ce principe avance à grande vitesse…

La mémoire fait biologique, par essence

Théodule Ribot, affirme dès le XIXe siècle que  » la mémoire est par essence un fait biologique et par accident un fait psychologique « .
La mémoire individuelle se définit au niveau du système nerveux, sur le plan morphologique et synaptique. Au cours de son histoire, un individu accumule un ensemble considérable d’informations et de souvenirs, ou d’expériences. Cette accumulation se traduit sur le plan biologique par une modification du nombre de neurones, de leur forme, ainsi que des connexions (dites synapses) qu’ils établissent entre eux. On parle alors de plasticité cérébrale, ce qui signifie littéralement la capacité du cerveau à se modifier au cours de l’histoire, et du faut des expériences accumulées…
On parle enfin de mémoire évolutive. Celle-ci correspond à la mémoire accumulée et conservée sous forme de programmes génétiques. En quelques mots : L’histoire du vivant est imprimée dans la structure génétique.

Résonance…

La résonance est un mot générique et qui renvoie une médecine douce assez novatrice, sans effets secondaires, et basée sur le principe de la mémoire cellulaire. L’hypothèse est que cette mémoire va encombrer le vivant, et peser comme une charge, jusqu’au moment où elle est identifiée, reconnue. En d’autres termes, jusqu’à ce qu’elle monte de l’inconscient au conscient.
Travailler à partir du principe de résonnance revient à accorder un instrument de musique. Le corps est cet instrument de musique.
On parle alors de réinformation cellulaire, de travail vibratoire. Après certains essais, on redonne sa juste résonance au corps (ou un organe ciblé). Il devient alors capable de mieux percevoir les notes qui sont fausses et de les éliminer, pour étendre les bonnes notes, la bonne fréquence. Il ne s’agit pas de se débarrasser d’informations, d’oublier un passé quelconque, mais simplement de percevoir et d’apprivoiser ce qui vit en nous, sans le renier ni le juger. Le corps, instrument de musique, sera alors complètement accordé. La communication cellulaire optimale, et la santé aussi. Il s’agit simplement de conscience et d’amour de soi.

Les mémoires du vivant

Dans le monde vivant autour de nous, le principe de la mémoire est très répandu. Les roches par exemple, enregistrent toute l’histoire dans leurs couches successives, et grâce auxquelles les géologues peuvent lire l’histoire, déduire le temps qu’il a fait il y a quelques centaines de milliers d’années, et bien plus loin dans le temps parfois. Les arbres portent également en eux-mêmes les traces du temps. Chaque écorce porte en détail les traces des événements qui ont pu avoir lieu sur des années, et même des milliers d’années, car il faut savoir que certains arbres sont quatre fois millénaires. Oui.
Le principe de la mémoire est vraiment permanent dans le monde vivant autour de nous. Quand on sait que le corps humain emmagasine chaque jour une certaine quantité de carbone 14, que à sa mort ce stockage s’arrête et que la quantité de carbone 14 va alors se dégrader selon une régularité pour le moins frappante de précision….on ne sera pas étonné que nos propres cellules portent une mémoire.

La Musique et le vivant

La musicothérapie est connue depuis très longtemps, l’Homme a toujours eu recours aux sons de tambours, comme aux chants, pour des cérémonies à vocation spirituelle, ou pour des cérémonies à vocation curative, pour guérir quelqu’un ou un plusieurs personnes atteintes d’une quelconque maladie. Aujourd’hui nous savons avec certitude que la musique, ou les sons ordonnés d’une certaine manière, ont une influence majeure sur les processus vivants. Le progrès technologique extraordinaire a permis d’observer les effets des sons sur le vivant, la physique quantique de son côté apporte la confirmation que tout est tributaire de fréquences. Notre corps, ainsi que le monde autour de nous, s’organisent -littéralement- en fonction de fréquences données. C’est ainsi que le son en général, et la musique en particulier, peuvent jouer un rôle majeur d’abord dans l’accès aux mémoires du corps, ensuite dans le nettoyage de ces mémoires…